| 
 | 
		Oh ! ne les faites pas lever ! C'est le naufrage.... 
		Ils surgissent, grondant comme des chats giflés, 
		Ouvrant lentement leurs omoplates, ô rage ! 
		Tout leur pantalon bouffe à leur reins boursouflés.
		Et vous les écoutez, cognant leur têtes chauves 
		Aux murs sombres, plaquant et plaquant leurs pieds tors, 
		Et leurs boutons d'habit sont des prunelles fauves 
		Qui vous accrochent l'oeil du fond des corridors ! 
		
		Puis ils ont une main invisible qui tue : 
		Au retour, leur regard filtre ce venin noir 
		Qui charge l'oeil souffrant de la chienne battue, 
		Et vous suez, pris dans un atroce entonnoir ! 
 
 |   
 |   
 | 
 |